mercredi 29 février 2012

Comment jeuner ?

  1. Avant : mardi gras et Carnaval

La semaine précédant le mercredi des Cendres, c’est le carnaval (47 jours avant Pâques), temps de fantaisie avant l’austérité. Et le dernier jour du carnaval, c’est le mardi gras. L’hypothèse la plus courante sur l’origine étymologique au mot carnaval voudrait qu’elle traduise l’expression italienne « carne vale ! » signifiant : « ce qui est carné s’en va ou enlever la viande ». Mais nous observons tous aussi que le Carnaval qui explose le mardi gras est un moment de folie avec des déguisements de toutes sortes. 
Ce sont les dernières réjouissances avant de se lancer résolument dans le temps de la pénitence. C’est le dernier moment pour consommer les provisions d’aliments « gras » dont on se passera en carême. Il est de tradition de faire des crêpes ou des merveilles.

  1. Début du carême : Le mercredi des Cendres

  • La Bible
Dans la Bible, les cendres sont la manière de confesser publiquement sa faute et d’exprimer sa volonté de changer de vie. Pensons à la grande ville de Ninive dont le roi, en entendant la prédication de Jonas annonçant la destruction dans quarante jours, ordonne à tous les habitants, hommes et animaux, de jeûner et de faire pénitence avec un sac comme habit et dans la cendre. Se couvrir la tête de cendre, c’est aussi dans l’Ancien Testament, la manière de se préparer à prier le Seigneur de façon à être entendu. Nous voyons cela par exemple avec la reine Esther qui quitte tous ses atours et se couvre de cendre pour prier avant de se parer à nouveau pour se présenter devant le roi et intercéder en faveur du peuple juif. Les livres de Sagesse, eux, montre par cette réalité poussiéreuse la fugacité de la vie, la pauvreté de l’existence, invitant à se confier davantage au Seigneur.


  • L’origine 
Dans l’Antiquité chrétienne, le carême était la période de préparation à la réintégration des pénitents. Les pénitents étaient des chrétiens ayant commis des fautes graves et désirant retrouver la communion avec Dieu dans l’Eglise. Pour cela, ils confessaient en secret à l’évêque leurs péchés et étaient admis ensuite publiquement dans l’ordre des pénitents en recevant les cendres sur la tête. A la fin de la période de pénitence faite de renoncements, de charité et de prière intense, ils recevaient l’absolution de l’évêque le Jeudi Saint et retrouvaient leur place parmi les fidèles pour célébrer Pâques. Jusqu’au VIe siècle, cette cérémonie avait lieu le 6e dimanche avant Pâques, mais avec Grégoire le Grand, elle a été avancée au mercredi précédant pour totaliser 40 jours de pénitence, car les dimanches n’en sont pas. Mais dès cette époque, le Pape lui-même se faisait imposer les cendres en signe de pénitence et de préparation à Pâque. Elle lui rappelait que, tout pape qu’il était, il était poussière et y retournerai. Ce signe de la pénitence est désormais reçu par tous les fidèles catholiques. Mais se souvenir de son origine doit nous inciter à bien nous confesser avant la grande fête, même si nous ne faisons plus publiquement notre pénitence, à entrer véritablement dans une logique de conversion et d’intensification de la vie chrétienne.

Figure 1 Le pape Benoît XVI recevant les cendres
  • Aujourd’hui 
La liturgie du mercredi des cendres, de nos jours, peut être célébrée soit au cours d’une célébration de la Parole, soit au cours de la messe. On entend toujours l’évangile selon saint Matthieu (chapitre 6) dans lequel le Christ nous apprend à faire l’aumône, à prier et à jeûner dans le secret, sous le seul regard de notre Père. Ça sera notre feuille de route pour le carême. Après l’homélie, le prêtre bénit les cendres, produites en principe par l’incinération des rameaux de l’année précédente. Puis il s’impose à lui-même la cendre, s’il n’y a pas d’autre prêtre pouvant le lui faire, et ensuite il l’impose à chaque fidèle, soit en en répandant un peu sur la tête, soit en marquant le front en signe de croix. Il joint à ce geste ces mots : « Convertissez-vous et croyez à l’Evangile. » C’est l’exhortation à entrer en vérité dans le carême. Ou encore : « Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière. » C’est l’invitation à accepter notre condition mortelle du fait du péché, dans la confiance que Dieu peut nous pardonner et nous ressusciter.

  • Jour de jeûne et d’abstinence 
Ce jour (le mercredi des cendres) est l’un des deux seuls jours de jeûne et d’abstinence de l’année (avec le Vendredi Saint). Pour mémoire, tous les vendredis de l’année, c’est abstinence. C’est-à-dire qu’on s’abstient de viande, d’alcool, de tabac… et on prend plus de temps pour la prière et le partage. Les jours de jeûne, on s’abstient de viande et se prive substantiellement de nourriture selon son âge et ses forces.


Figure 2 Le pain rappelle le partage
  1. Le carême  est  la règle  des 4 p

Tout étudiant en marketing connaît la règle des 4 P du Mix Marketing :
  • le Produit,
  • le Prix,
  • la Place (Distribution) et 
  • la Promotion (Communication)
On peut s’aider de cette règle pour indiquer quatre démarches fondamentale du temps de Carême en 4 P.  Ainsi le Carême est un temps de :
     Parole de Dieu : Méditer la Parole de Dieu devient notre principale nourriture
     Prière : Rencontre et dialogue avec Dieu
     Partage : Solidarité avec les plus démunis
      Pénitence/Pardon : Réconciliation avec Dieu et les autres (Recours au Sacrement de réconciliation)



Contact Presse/Archidiocèse de Dakar
Service Diocésain de l’Information et de la Communication (SEDICOM)
Tél. 301 130 666

mardi 28 février 2012




Théodore Adrien Cardinal Sarr a soutenu au cours d’une conférence de presse tenue hier, vendredi 24 février à Dakar que l’Eglise est disposée à participer comme facilitateur ou comme médiateur au dialogue entre le pouvoir et l’opposition pour une stabilité nationale, si la demande se présente.
Il a également révéler que Olesugun Obasanjo, au Sénégal pour une mission de supervision des élections, « est venu jeudi avec sa délégation jusqu’au Cap des Biches où nous avions une rencontre entre les évêques, pour échanger avec nous sur la situation du pays».
L’archevêque de Dakar, a aussi profité de cette occasion pour donner la teneur de son audience avec le président de la République à quelques jours du scrutin.
Pour le Cardinal Sarr, «le président de la République nous a dit qu’il est disposé à un dialogue avec l’opposition. Nous avons demandé et obtenu une audience avec lui, le jeudi 23 février pour exposer cette situation d’urgence et la nécessité de trouver des voies de sortie de crise». Et de renseigner « aujourd’hui, le nœud du problème semble se situer dans la validation des candidatures pour l’élection présidentielle même si le Conseil constitutionnel a déjà statué».
En à croire Monseigneur Sarr, il est en train de transmettre le message dialogue depuis, vendredi à tous les responsables de partis de l’opposition qu’il pourrait toucher pour les encourager eux aussi sur cette voie.
Il a par ailleurs demandé : « aux acteurs politiques de regarder le bien du pays afin de faire quelques sacrifices et de faire montre de magnanimité pour dire que, dès maintenant, nous acceptons de s’asseoir pour voir ensemble comme sortir de la crise ».
Le Cardinal a souligné « la nécessité d’un dialogue entre les acteurs et responsables politiques pour qu’ensemble, ils arrivent avec l’aide de toute personne de bonne volonté qui peut y aider à se trouver cette voie de sortie de crise pour que le Sénégal ne sombre pas’’.
Selon lui, il s’agit là d’une dernière chance à saisir, estimant que sa démarche en cours sera aussi une course contre la montre. «Nous avons effectivement conscience que les délais sont très courts, trop courts même.»
«Depuis longtemps, nous espérons que ce dialogue aurait eu lieu, mais si vous insistez, vous lancez des messages et que nous n’avez pas l’air d’être entendu. Vous ne pouvez pas forcer les gens. Ce n’est pas la première fois que nous lançons de tels appels », a rappelé le Cardinal. «Nous espérons que Dieu va aider et qu’au dernier moment quelque chose se déclenche pour que ce que nous souhaitons (la paix) ait lieu.»

sudonline.sn

lundi 13 février 2012

Les 10 ans de NDA



La paroisse Notre dame des Anges de Oukam a dix ans. Créée en Février 2002, ce 11 Février 2012 c’était l’occasion de rendre grâce à Dieu pour dix ans d’évangélisation.
Née de la paroisse Saint Christophe de Yoff, l’Union des Femmes Catholiques de Ouakam (UFCO) ont pris l’amicale des Femmes Catholiques  de Saint Christophe de Yoff (AFCY) comme marraine, 
Ainsi la Messe fête patronale a été présidée par le Vicaire général de l’archidiocèse de Dakar.
Dans son homélie Abbé Alphonse SECK a prié pour la Paix au Sénégal. ( http://www.ustream.tv/recorded/20422873 )
Une célébration qui a été précédée par un programme très riche et varié : 
JEUDI 02 f2VRIER                        :         + Lancement de la Neuvaine de prière à 18h 30 à la paroisse
Dimanche 05 Février             :         + Consultation médicale gratuite pour tous après la messe de 9h30 
Jeudi 09 Février                    :         + Célébration pénitentielle à partir de 18h
Samedi 11 Février                   :         + Messe solennelle à 10h suivie de la Bénédiction de la grotte et d’un repas fraternel à l’école Stella Maris
(http://www.ustream.tv/recorded/20381827   pour la Messe et la cérémonie de jumelage http://www.ustream.tv/recorded/20421970   )
  
Dimanche 12 Février               :         + Yendou fraternel dans la cour de la paroisse après la messe de  9h30

mercredi 8 février 2012

L'ADECCS a tenu un forum sur "Elections présidentielles et Paix"




L’Association des dirigeants entrepreneurs et cadres catholiques du Sénégal (ADECCS) a organisé le dimanche 29 Janvier à la Paroisse St André de Mbour, un Forum sur « élections présidentielles et Paix ». Un thème introduit par Abbé Léon Diouf vicaire épiscopal.

Le conférencier a débuté sa communication par constater que tout esprit averti aujourd’hui de la situation du Sénégal, sent qu’il y a une tension, qui peut dégénérer et aboutir à des déviations. « C’est pour cela l’idée directrice de ma conférence, c’était de rappeler le rôle des Leaders religieux, comme sensibilisation à la responsabilité de tous, comme plaidoyer pour l’engagement de tous, comme sur les dangers, » a déclaré Abbé Léon Diouf devant un auditoire, composé de fidèles, mais aussi de représentants des partis politiques et de la société civile de la localité...
. Pour développer le thème, le vicaire a replacé d’abord, la politique, dans son véritable contexte de quête du pouvoir, qui du ressort des partis politiques ; qu’il différencie du politique, qui indique la vie de l’ensemble de la nation. Cette vie, à en croire le conférencier, c’est l’économie, où chacun des citoyens produit, distribue, et reçoit. « Les problèmes économiques sont dus souvent à une carence politique. Ce qui fait que la politique et l’économie dépendent l’une de l’autre, et vice versa, » a-t-il relevé. Et la politique pour lui, dépend elle-même du jeu social et de la demande sociale. Ainsi, pense t-il, si l’homme politique n’a pas pris la précaution de savoir ce que veulent les sénégalais, pour y répondre par une politique intérieure et extérieure saine, et cohérente ; « Attention, avertit-il, cette politique ne va aider une économie ».
Aussi, a-t-il soutenu, le jeu social dépend des cultures des différentes ethnies du pays, et la culture générale ou moderne. « Et si on ne tient pas compte du comportement culturel, on ne comprendra pas les ambitions de la société, donc, on va vers une mauvaise politique, donc une mauvaise économie » dira t-il.
« Le culturel est liée à la religion. Si tous les citoyens en reviennent à l’ABSOLU, pour ne faire que ce que leur conscience leur demande devant la transcendance de l’ABSOLU,, à partir de ce moment la culture est saine, et elle va appeler à un comportement social sain, avec des ambitions saines, qui va appeler une politique saine, qui produira une économie efficace et efficiente . Et c’est ça qui fera le bien du pays » remarque le vicaire épiscopal..
Pour Abbé Diouf, le rôle de l’Eglise c’est d’appeler à la Paix. « La Paix pour moi, en théologien chrétien, se résume dans notre manière de comprendre DIEU, comme communauté de père, du fils et de leur esprit commun. La paix qui est dans la trinité dans cette communauté de DIEU, où il n’ya que paix, DIEU est Amour, IL est Lumière. Cette paix doit être dans le cœur de chaque individu, parce que nous sommes tous à l’image de DIEU. Les bio latins disent : « le bien se répand de lui*-même » a retenu le conférencier
Pour lui, si chaque individu diffuse sa paix intérieure autour de lui, les confrontations d’idées et d’opinions et de sentiments ne seront pas opposition mais une convergence. « Les fleuves qui viennent de plusieurs points sont différents. L’important, c’est leur confluence vers le même grand fleuve, qui va à l’Océan »
De son avis les religieux doivent travailler à éduquer l’homme, pour construire une nation.

Source: Petite cote.net

jeudi 2 février 2012

Abbé Paul Abel MAMBA: Nouveau Evêque de Ziguinchor




L’abbé Paul Abel Mamba a été nommé mercredi évêque titulaire du diocèse de Ziguinchor (sud), en remplacement de Maixent Coly, décédé en août 2010.
Le décret pontifical nommant Monseigneur Mamba a été publié à 12 heures (heure de Rome). L’abbé Paul Abel Mamba occupait le poste d’administrateur du diocèse de Ziguinchor, depuis juillet 2010.
Une nouvelle ‘’charge qui va s’imposer à lui (Mamba) de manière inéluctable, c’est la question de la paix en Casamance. Il va avoir de mandat spécial, en s’impliquant de manière spécifique pour la paix dans son diocèse’’, a dit lors d’un point de presse l’abbé Christian Gérard Sagna, chancelier du diocèse de Ziguinchor.
Monseigneur Paul Abel Mamba est né le 5 décembre 1960 à Cabrousse-Nialou, dans le département d’Oussouye (Ziguinchor). Il a été ordonné prêtre le 8 avril 1988, après avoir étudié aux Séminaires de Ziguinchor et de Sébikotane (Dakar).
Monseigneur Mamba a d’abord occupé les fonctions d’économe au Séminaire moyen Notre-Dame de Ziguinchor et de vicaire à la paroisse de Niaguis (Ziguinchor) en 1988.
Il a ensuite enseigné l’histoire et la géographie au Petit séminaire de Tambacounda (est), avant d’être porté à la direction de cette institution, de 1991 à 1993. Il a étudié à l’Institut catholique de Yaoundé (Cameroun), de 1993 à 1995.
Le nouvel évêque a assumé les fonctions de ministre, de procureur et de vicaire au diocèse de Tambacounda, de 1996 à 2002. Il a aussi été comptable à Caritas, et vicaire à la paroisse Saint-Pierre de Claver, de 2002 à 2006, avant de rejoindre la France pour une année de ressourcement au centre Sèvres, à Paris.
Dans ce pays, il a occupé en France les fonctions de vicaire à la paroisse Notre-Dame des Anges de Mitry-le-Neuf, dans le diocèse des Meaux.
De retour à Ziguinchor, il devient vicaire à la paroisse des Martyrs de l’Ouganda de Colobane, de 2007 à 2008. Il a occupé successivement les charges de vicaire général chargé du temporel et de l’action sociale, de 2007 à 2010.
Monseigneur Mamba a ensuite été nommé administrateur de la paroisse des Martyrs de l’Ouganda (Ziguinchor) jusqu’a sa nomination comme administrateur apostolique du diocèse de Ziguinchor, depuis juillet 2010.

mercredi 1 février 2012

Le Cardinal SARR: nouveau président de la CERAO


L’Assemblée plénière constitutive de la Conférence épiscopale des Evêques d’Afrique de l’ouest (Recowa-Cerao) a pris fin hier Dimanche 29 janvier 2012 par une messe à la basilique Notre dame de la paix de Yamoussoukro. Le nouvel organe est présidé par son Eminence Théodore Adrien cardinal SARR, archevêque de Dakar. Qui a à ses côtés 2 vice-présidents, ses collègues Mgrs Ignatius Kaigama de Joss (Nigeria) pour les anglophones et Jose Camnâté Na Bissign de Bissau (Guinée Bissau) côté lusophones.
Le nouveau président de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’ouest (CERAO/RECOWA), Mgr Théodore Adrien Cardinal SARR, a souhaité un procès équitable pour tous les incarcérés de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire, lors de la messe solennelle de clôture, dimanche, en la basilique Notre Dame de le Paix de Yamoussoukro.
L’ouverture de cette assemblée générale plénière de la CERAO/RECOWA a été présidée par le président ivoirien Alassane Ouattara qui a interpellé les évêques ouest africains sur leur rôle de consolider l’unité dans cette sous région.
L’évêque de Dakar qui a rappelé l’interpellation du chef de l’Etat, Alassane Ouattara sur le rôle des évêques ouest-africains dans la consolidation de l’unité de la sous-région, lors de la cérémonie d’ouverture de l’assemblée générale plénière mardi, a souhaité une équité dans les procès relatifs à la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
"Nous avons fort apprécié l’interpellation du président de la République de Côte d’Ivoire, pays qui nous accueille, à la consolidation de l’unité en Afrique de l’ouest. Nous souhaitons un procès équitable pour tous ceux qui sont incarcérés dans le cadre de la crise postélectorale pour une réconciliation véritable et une paix durable pour consolider l’unité dans notre sous région", a affirmé Mgr Cardinal SARR, rappelant que des frustrations injustes engendrent toujours des vengeances.
Selon l’homme de Dieu, l’église, famille de Dieu, doit être au service de la réconciliation, la justice et la paix. Elle doit également être un véritable signe et un instrument de la réconciliation.
"(…) Mais avant, nous évêques et archevêques devons nous réconcilier avec Dieu. Que nos paroisses, nos cathédrales deviennent des instruments de réconciliation, de justice et de paix. Car, vu les crises qui essaiment en Afrique, et particulièrement en Afrique de l’ouest notamment au Libéria, au Mali, au Sénégal, au Niger, au Nigéria, les évêques invitent tous les fidèles, et au-delà toutes les populations ouest-africaines et africaines, à être de véritables instruments, de véritables artisans de paix", a souhaité l’évêque de Dakar, tout en relevant qu’il ne doit y avoir de discriminations liées à la religion, à l’appartenance ethnique, politique, etc.
Le prélat a conclu en recommandant la nouvelle organisation de l’église catholique de l’Afrique de l’ouest aux prières de tous, afin qu’en son sein, les évêques réussissent leur engagement au service de la réconciliation, la justice et la paix.
L’assemblée plénière de la CERAO/RECOWA a été organisée, de mardi à dimanche, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de Yamoussoukro sur le thème "L’Eglise, Famille de Dieu, en Afrique de l’ouest, au service de la réconciliation, la justice et la paix", rappelle-t-on.
Mgr Cardinal SARR et son bureau exécutif sont élus pour un mandat de trois ans, souligne-t-on.