Au Sénégal, les moines bénédictins de l’abbaye du Cœur Immaculé de Marie ont reçu la croix de la Légion d’honneur française. Cette haute distinction leur a été décernée pour leurs recherches dans la musique sacrée et dans le cadre du jubilé d’or marquant les 50 ans du monastère.
Les recherches et essais d’inculturation liturgique des moines bénédictins de Keur Moussa ont déjà été reconnus et récompensés plusieurs fois. En 1993, l’Université de Wilmintong, aux Etats-Unis, leur a attribué le prix Albert Schweitzer de musique, en même temps qu’un autre prix de médecine et un prix de philosophie sociale. En 2004, l’abbaye a reçu le prix annuel des Académies pontificales.
Le président poète, Léopold Sédar Senghor, reconnaissait lui aussi « un apport notoire » de la liturgie inculturée dans l’histoire de l’Eglise en Afrique, estimant même : « Si Mgr Lefebvre, ancien archevêque de Dakar, n’a pas fait un seul adepte au Sénégal, ni ailleurs en Afrique, c’est que le Concile Vatican II avait permis aux Africains de prier dans leur langue natale. Surtout, peut-être, de chanter et de danser Dieu jusque dans les couvents ».
senkto.net
Les recherches et essais d’inculturation liturgique des moines bénédictins de Keur Moussa ont déjà été reconnus et récompensés plusieurs fois. En 1993, l’Université de Wilmintong, aux Etats-Unis, leur a attribué le prix Albert Schweitzer de musique, en même temps qu’un autre prix de médecine et un prix de philosophie sociale. En 2004, l’abbaye a reçu le prix annuel des Académies pontificales.
Le président poète, Léopold Sédar Senghor, reconnaissait lui aussi « un apport notoire » de la liturgie inculturée dans l’histoire de l’Eglise en Afrique, estimant même : « Si Mgr Lefebvre, ancien archevêque de Dakar, n’a pas fait un seul adepte au Sénégal, ni ailleurs en Afrique, c’est que le Concile Vatican II avait permis aux Africains de prier dans leur langue natale. Surtout, peut-être, de chanter et de danser Dieu jusque dans les couvents ».
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